Antille, brigadier - Revaz, gendarme à Saint-Maurice

Procès verbal contre Marie Seydoux pour avoir laissé danser dans son domicile jusqu’à minuit

1846 12 février
Consultation: sur place

Type

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Disponibilité

Langue(s)

Nombre de pages

  • 2

Description matérielle

  • Feuillet lignés (tirés d’un cahier?) plié en deux. Écriture à l’encre noire sur deux de ses côtés.

Dimensions

  • 17.2 cm x 19.9 cm

Catalogue

  • Archives cantonales du Valais

Ressources électroniques

  • Non renseigné

Mots-clés

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Résumé critique du corps du texte

Le contenu du texte est le suivant (l’orthographe d’origine est respectée):
« L’an huit-cent quarante six le onze février plusieur rapport nous étant parvenus que la nommée Marie Seydoux née Rotten avait autorisé dans son domicile plusieurs personnes à danser avec instrument de musique dans la nuit du onze au douze courent pour ètre assurés du fait nous nous somme rendus au domicile de la pre-nommée qui a déclaré au soussigné qu’on avant dansé Ches elle la nuit précédente jusque vers minuit passé et que les danseurs étai les deux fille de Suilland Voiturier de St Maurice la fille d’antoine Vieux, Julie Praimax Ces quatre étai masquée la veuve de Joseph Fevres née Sédoux a vu sa petite fille, Antoine Yegger garçon d’ecurie a lunion, un Conducteur des Diligence Vaudoise, le musissien est du Village de Lavey la femme Saidooux na pas su nous dire son nom, Les Soussignés luis ayant demandé si elle avait la parmission pour laisser danser ches elle elle nous repondit qu’elle ignorait si l’on avait la permissions de danser d’après les rapports qui nous ont été faits il devait s’y trouver plusieur autres personne En conséquence nous les dénoncons tous afin que l’amande leurs soit appliquée a teneur le loi.
Saint-Maurice le 12 Fevrier 1846
Antille
Brigadier
Revaz Gendarme »

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