Rondes et chansons populaires
Disponibilité
GenèveLangue(s)
françaisPublication / maison d'édition
- A. Lahure
Impression
- A. Lahure, imprimeur-éditeur, 9, rue de Fleurus
Pagination
- [1-5], 6-399
Nombre de pages
- 399
Description matérielle
Couverture rigide (carton), cousu, dos libre, tranche fil, bon état.
Dimensions
- 20.8 cm x 28.2 cm
Autre(s) exemplaire(s) en Suisse
- Non renseigné
Autre(s) exemplaire(s) à l'étranger
- Non renseigné
Edition(s) antérieure(s) ou postérieure(s)
- Non renseigné
Ressources électroniques
Résumé critique du corps du texte
Le recueil se concentre sur les chansons, cependant la première partie est constituée de rondes, donc de chansons faites pour la danse. Ce sont ces chansons-là qui feront l’objet de ce commentaire.
Dans la plupart des cas, à la partition présentant l’air et les paroles s’adjoint une seconde, avec accompagnement pour piano, qui figure parfois avant parfois après la première. Certaines rondes ont aussi un jeu qui leur est associé, qui est expliqué. Par exemple, pour « Ah ! mon beau château », le jeu est le suivant :
« Les enfants forment deux ronds et chantent en dansant. A chaque tour il se détache un enfant du premier rond pour aller rejoindre l’autre, et le jeu se poursuit ainsi jusqu’à ce qu’il ne reste plus du premier cercle qu’une seule personne que le rond entoure ». Cependant ces rondes-ci sont des exceptions. Pour la plupart, le livre ne donne aucune indication concernant la danse, ce qui peut faire penser qu’elle ne consistait qu’en une simple ronde, sans jeu spécifique prévu.
Remarques illustration
Presque chaque chanson est illustrée. Lorsqu’elle ne l’est pas, son nom est richement décoré (bannières, encadrés, fleurs, angelots, etc.) Les images, très délicates, illustrent l’histoire racontée par la chanson ; peu montrent de la danse. Dans le cas de « Sur le pont d’Avignon », l’image qui y est attachée montre de la danse, mais moins pour décrire la chorégraphie qui pourrait y être associée que pour illustrer le thème de la chanson : la danse.
Remarques sur la rédaction
6 décembre 2017